L'auteur souligne avec force l'omniprésence du religieux dans l'homme et du sacré dans une société qui se croit, et se veut, totalement sécularisée. D'autre part, il met en lumière les périls d'une sacralisation poussée du profane, ainsi que d'une sécularisation du sacré. L'auteur est Docteur ès-lettres.